LES TROIS FORCES
A. LA FORCE SUBSTANTIELLE
La force substantielle
ne vient pas de l’extérieure et ne dépend de rien qui soit extérieur à l’objet
qui lui est soumis. Elle s’exerce de sept façons différentes, prenant en compte
la matière, la substance et la densité. Tout corps en chute ou pas est soumis,
non pas à cette fiction que nous appelons poids (le petit g n’existe nulle part
dans la nature), mais à la force substantielle. C’est de cette force qu’il
s’agira dans le prochain discours.
B. LA FORCE REPULSIVE
C’est une force de
défense appartenant, non pas à l’ultime densité, mais au système vital. La
force répulsive s’exerce sur les corps étrangers au système, que ceux-ci
viennent de l’extérieur ou de l’intérieur. Aux extrémités (frontières) ou à
l’intérieur du système vital, elle fait voler en éclat (explosion), fait
dissoudre (fonte), fait s’évaporer (vaporisation), capte (magnétisation) et
consume (destruction) tout ce qui est susceptible de désorganiser le système.
Les trous noirs sont un exemple de force répulsive. L’électricité qui nous fait
tant de bien est une force répulsive que nous avons pu nous rendre plus utile. Les
corps étrangers n’atteignent pas l’ultime densité parce que celle-ci est
défendue efficacement par les forces répulsives du système vital.
C. LA FORCE DU VENT
La nue appartient au
système vital « terre ». Et dans ce système, toute force poussive, en
l’état actuel de nos connaissances, est éolienne. La poussée du vent ne
précipite pas les objets sur la terre (même si elle peut en être la cause).
Elle les fait tourner (ou tente de les faire tourner) dans la nue, à la manière
des électrons des gravitationnistes qui tournent autour du noyau de l’atome.
C’est une force qui tente de déformer la trajectoire de l’objet en chute ou
montant. Elle suit la direction du vent et tous les corps du système vital y
sont soumis. Il n’y a pas de vent montant ni de vent descendant : la force
poussive est une force horizontale. Pour un avion en plein vol,, un vent
violent venant en sens opposé est capable d’annuler son mouvement pour qu’il
fonce inévitablement vers son ultime densité : la terre. La boîte noire de
cet avion, si puissante soit-elle, ne peut donner aucune information
fiable y afférente. Elle est poussière
et la cause de l’accident ne l’est pas. C’est que la poussière ne sait rien de
l’air.
Les laboratoires sont
des forteresses desquelles l’homme doit sortir pour regarder tout naturellement
la nature. Ce qui fera de nous des substantialistes fiers de l’être. Pour que
le vingt-et-unième siècle soit totalement différent de ceux qui sont derrière
nous.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire