Les flots dansaient au son des vagues
Et nos regards s'en régalaient comme à la plage
Les vagues de bombes chaviraient nos cœurs épouvantés
Traînés à peine par les prélats vibrant de peur
Sur la vingtième frange de ton œil nucléaire
L'affreuse année qui saigne la terre
Les siècles s'en vont nos maux demeurent
Sans vergogne sifflés par le vent mélodieux
Qui psalme à pleine bouche un cantique divin
Ils passent ornés de gris
Couleur de l'an de fragmentation
Cette terre a bu de notre sang
Cannes ouvertes de la mer rouge
Lui en donnerons-nous toujours
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire