Quand le
jour mal illuminé
Par le feu
de vos fissions atomiques
Imprègne ton
âme flottant sans abri
D’impitoyables
horreurs sans bout
Quand de
faux nuages passent en fanfare sur ta tête
Chevaliers
défilant devant les troupes enragées
La terre
ouvre ses antres avides d’amour sanguin
Ivre du
blanc vin de soufre toxique
Quand les
horloges de Kbopi vont à reculons
Heurter à
Bamegang leurs regards infinis infidèles
Eclairs de
poignards envenimés de son vin
Tris’épouse
de mon petit matin infernal
Quand la
nuit intrépide et austère
Silencieuse
effrayante noire de supplices
Envahit ton
cœur endolori criant
Torturé à
tout vent et chantant l’amour
Quand la Muse
lasse de pleurer
Se tait
devant la brisure stupéfaite
Traîne ta
mémoire éveillée et triste
D’affreux
souvenirs insipides et amers
Quand le
firmament en sanglots
Lance ses
limpides épées hurlant
Sur la terre
meurtrie de ses peines
Cherche où
reposer ton cœur de mêmes peines
Peines sur
peines
Adieu
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