Tous les
chemins se brisent
Et le vent
subitement s’arrête
Les lampes
s’éteignent
Les têtes se
visent
Le malade
est rebelle à tout remède
Les flots
dansent au son des vagues
Et nos
regards s’en régalent
Comme à la
plage
Ces vagues
chavirent nos cœurs épouvantés
Traînés à
peine par le prélat vibrant de peur
Sur la
vingtième frange de ton œil nucléaire
Vingtième
siècle vénéneux qui saigna la terre
Ils s’en
vont chaque monde à part
Lions Indomptables de la décadence
Lions Indomptables de la décadence
Sans
vergogne sifflés par le mélodieux vent
Qui psalme à
pleine bouche un cantique divin
Tout de
blanc vêtus puis ornés de gris
Divines
couleurs de ce siècle de fragmentation
Le regard
humiliant des yeux de la putain
Caïn errant
comme un lion affamé
Coupe en de
cris éclairs de verres
Le nombril
de sa mère patrie
Ah Saint
Paul se referme en cascade
Honteusement silencieux
Cette terre a besoin de nous
L'abandonnerons-nous toujours
Honteusement silencieux
Cette terre a besoin de nous
L'abandonnerons-nous toujours
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