Auréoles
luminescentes de la grande cour
De la
persévérance la voie lactée
Vont
chantonnant dans le sacré anneau
Ceinture
lumineuse de la nation braisée
Par le
régime infernal son bourreau
Vacillant au
top de sa banqueroute
Ces déesses
dont la beauté déroute
Doucement
nous mènent avec espérance
A travers
air et chemins enflammés
Berçant
tendrement nos cœur damnés
Par les
flammes d’ennemis de l’alternance
Harde de
brigands hardis à leur poursuite
De la horde
affamée par elle séduite
Et Lucifer
qui avait bien trempé
Ses mains de
souillures inondées
Dans la
merde le sang d’âmes bien nées
Dans la
fournaise avec sa glu
Devant
toutes ces mamans bien nues
Bégaie
coupable de ses insanités
Devant l’aura
du palais encerclé
Exhalant
l’air qu’il a gazéifié
Les
Takumbeng symboles de patience
Maîtresses
du courage la science
Puissances
câlines forces humaines
Flambant
dans un monde assassin
Barbare
forestier exfolié avec peines
Cependant
mais tourments de requins
Sanglotent
devant les corps martyrisés
Des enfants
sur le chemin de la liberté
Ces
divinités maîtresses de la souffrance
De la lutte
sans feu sans sang pacifique
Vertueux
canons étoiles du prolifique
Tendrement
nous initient à l’endurance
C’est la
lumière de nos voies ensanglantées
C’est la
honte de leurs voix animalisées
L’armée
fidèle du renouveau
Ses loups
ses lions ses lourdauds
Tous les
hommes allant à vau-l’eau
Par voie
d’homicides tressaillirent
Quand ces
mamans à la fin assaillirent
Les troupes
autour du palais criant ces mots
Hommes
laissez la brousse aux animaux
Et le monde resta idiot comme un badaud
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire