A LA RECHERCHE DES CAUSES DU MAL QUI M'ACCABLE
CE QUI PRECEDE
Précieuse mélodie d’un cœur ingénu
Un rituel d’une douç’âme déçue
Par douloureux cœur qui ne s’est pas tu
Un cri un cri bien perçant dans la nue
Pour toi âme sœur comme lui vaincue
Par un cœur impénitent corrompu
Au commencement était le Hasard
Et le hasard était l’Incertitude
Il était aussi la Joie
Et une plate joie était avec le peuple
Le Hasard était au commencement avec la Faiblesse
Et la Faiblesse était notre honte
Car le Hasard fit des choses
Il fit de la Faiblesse maîtresse des siens
Au crépuscule de son ardent’étoile
C’était Satan qui entrait chez Christ
Mais ainsi sera ton renouveau
Régression infinie de toutes tes valeurs
Car la Faiblesse a renié le Hasard lumière de sa route
Elle en consomme elle en consomme
Et chaque pas chaqu’instant constitue notre apocalypse
Tu recules
Tu recules
Tu recules
L’humanité comme toi va à reculons
Et ta vie n’est qu’un tissu de malheurs
A l’allure où vont les choses tu ne seras jamais heureux
J'ai peine à vous aimer
Brûlant dans vos flammes sans vergogne
Le primitif c’est bien toi homme de ces temps
Tu as tout lampé du fruit interdit
Porte maintenant ta croix
Une femme c’est du manger dans un plateau
Et des voyages candides en Propontide
Et de la douce pommade pour la belle peau
Et au cœur la joie des éclairs torpides
Et un fort valide courage intrépide
Et enfin ton cœur en vente au poteau
Le marché a marché tu es pourtant très doux
En vérité je n’ai jamais vraiment été aimé
Te voici flottant et solitaire maintenant
Ce matin tu es excédé par son cours
Moi je suis las de ce monde criminel
Tu es inquiet pour le jour commençant
Je suis content de n’être pas resté dans le jour passé
En vérité dans ta septième colline un jour s’en va je soupire
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